Avec la crise de la pandémie, le marché immobilier a connu un grand accroissement. En effet, les prix des biens immobiliers ont explosé dans de nombreuses villes moyennes. L’attrait des acheteurs pour les propriétés spacieuses et vertes est devenu plus qu’évident. Les investisseurs profitent alors de l’occasion pour se constituer un bien immobilier locatif et bénéficient de 5 % de la rentabilité de ses biens. Comment a évolué le marché immobilier en 2021 ?
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Le record des transactions
Le niveau des taux de crédit a enregistré un record d’environ 1,2 million de ventes. Soit un pourcentage de 1,06 en moyenne dans le mois de novembre, selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. La dynamique du marché a été fortement stimulée par la volonté des Français à mieux vivre chez eux. Les ménages quant à eux n’ont pas hésité un seul instant à proposer des logements plus confortables.
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Augmentation des prix des immobiliers
Laurent Vimont affirme que l’obsession de devoir se rapprocher du lieu de travail n’y est plus vraiment. Cette envie a alors fait grimper les prix des immeubles. Selon Meilleurs Agents, le prix moyen en France est d’approximativement 3 000 € le mètre carré et ce montant a augmenté de 5 % sur l’année 2021.
Selon Century 21, le prix d’achat moyen a également bondi. Ceci a commencé par les maisons qui ont progressé de 7,7 %. S’ensuit les appartements dont le prix a aussi flambé. On note 5,6 % sur sa valeur en 2021. Le prix moyen des maisons oscille entre 267 524 € et 227 897 €. Cette augmentation était plus remarquable dans les petites villes.
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La ville de Paris trouve un peu d’équilibre
Le marché a retrouvé un certain équilibre à paris. En effet, la baisse des prix observée en 2021 aura un impact positif sur le marché à mesure que beaucoup de transactions seront exécutées.
Selon Century 21, une baisse de 2,2 % du prix du capital et une augmentation de 22 % des échanges s’observent en 2021. Ce qui est largement supérieur à celui de 2019. À cause de ses fluctuations, Laurent Vimont déduit que Paris perd ses habitants. Cependant, ce marché reste particulièrement attractif pour les investisseurs, car il représente 32,5 % des acquisitions annuelles et 30,2 % des achats domestiques.
Jean-Marc Torrolion affirme qu’à l’heure actuelle, de nombreuses incertitudes continuent de peser sur l’économie. Mais en dépit de tout, l’immobilier apparaît comme un placement fiable et pérenne pour les Français. Puisqu’il rapporte bien plus que les autres formes d’investissement. Il conclut donc que c’est un havre de paix pour les Français.
Plusieurs profils retirés du marché
Depuis cinq ans, la hausse des prix exclut progressivement certains acheteurs du marché, notamment les plus jeunes et les ouvriers. Ses deux catégories retirées de six (06) points pour les travailleurs en 2021 (35,3 % des établissements) et pour les jeunes en 2020 (19 % des établissements), selon Century 21. Pour continuer à acheter des immeubles, ces derniers n’auront pas d’autre choix que de les prendre dans des endroits éloignés.
Selon les experts, le montant des apports nécessaires pour obtenir un prêt a fortement explosé. De ce fait, les cadres et les professions libérales sont sensiblement représentés. Les retraités n’auront alors rien à craindre et leur part de marché ne cessera de croître.
Période de crédit plus longue
La durée des prêts a également augmenté de manière significative en 2021, atteignant un record de 20 ans en moyenne, soit sept mois de plus que l’année précédente.
Pour financer l’achat des biens, les ménages maximisent tous les leviers du crédit, rappelle Laurent Vimont. Selon ses chiffres, le pourcentage d’acquisitions réalisées à crédit a pris de plus de 1 point de pourcentage. 81,8 % en 2021 contre 80,5 % en 2020.
